Panne fatale
Pour pas y passer aussi vite que le vent, on pouvait bien compter sur nos vélos. Le journée est ponctuée de crevaisons et de demi-tours. Le dernier a pour cause le porte bagage d’Iléonord qui casse pour la 4 ou 5ème fois du voyage. Faut dire que ça secoue. Heureusement, les Mongols sont toujours de bonne volonté pour filer des coups de mains. La réparation se fait rapidement, avec en prime une invitation à rester pour la nuit. Tof décide d’assurer ses boulons. Sauf qu’à trop les resserrer, celui de l’axe arrière casse, avec un bout d’axe coincé à l’intérieur… LA pièce unique, celle qui porte les accroches de la remorque. Impossible d’en trouver une 2ème pareille. Bon, y’a plus qu’une solution à trouver.
Un soudeur, avec si possible un poste à soudure (ou le contraire, mais faut la paire!) Après avoir vu tous les voisins défiler devant la pièce et notre problème, un premier soudeur tente le coup. Mais il n’avait pas de poste. Au gaz, dans sa piaule, avec des bouts de carton. Ça n’a pas marché. Le 2ème soudeur (avec poste) du village n’était pas là. On a finalement déniché notre homme, qui a dû ôter le bout d’axe du boulon, couper l’axe en 2 pour y souder le bout récupéré. Oufff! On se voyait vraiment pas prendre le train…
En attendant que ça se fasse, on fait connaissance. Comme le chômage et l’alcool semblent bien répandus (ici on picole la vodka à grands verres sans aucun esprit), on fait l’animation accessoire pour toute l’équipe.
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