Plaine en Siberie
Passe l’Oural, la foret prend ses distances, et ne devient au loin qu’un mince filet de verdure… Place a la plaine cerealiere, notre Bauce a nous, mais en 10 fois plus grand, evidemment. Les villes sont des poles industriels enormes, de metallurgie, de fonderies, de carrieres et d’agro-alimentaire. La terre est noire (tchernosol), riche, et les troupeaux de vache a l’echelle de la surface… Le transsiberien passe avec frequence, des trains longs de dizaines et de dizaines de wagons. Longues caravanes de Gaz, Petrole, etc…
Le vent nous souffle dans la figure, et sur, on galere dur… La pluie est de mise, et nous pousse a demander quelques abris de fortune pour secher nos os humides, meme pour la pause de midi, qui s’avere d’une chaleur humaine regonflante a bloc… Voila ou les Russes (qu’ils soient Azeris, Armeniens, Bielorusses, ou Ukrainiens) trouvent leur chaleur: dans leur coeur…
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